Politique U.S. : « DOGE » le cœur de la contre-révolution Trump!
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D.O.G.E ! Il y a six mois, personne ne connaissait ce sigle. Aujourd’hui les médias et politiques américains n’ont que lui à la bouche.
Les initiales D.O.G.E. signifient « Department Of Governement Efficiency » soit « Département de l’Efficacité Gouvernementale », en français. C’est une nouvelle « agence » de l’appareil exécutif américain (la présidence). Le DOGE a été créé par décret présidentiel le 20 janvier 2025, jour même de la seconde investiture du président Trump. Son objectif est de « mettre en place l’agenda présidentiel en modernisant la technologie et les logiciels du gouvernement fédéral pour en maximiser l’efficacité et la productivité. » En clair, le DOGE doit identifier et éliminer les abus, les gaspillages et les fraudes dans les dépenses du gouvernement, afin de garantir aux Américains un usage optimal de leurs impôts. Cela fait partie des promesses de campagne de Donald Trump.
La création du Doge repose sur le « titre 5 » du « code du gouvernement fédéral ». Ce n’est pas un nouveau « ministère », mais une « organisation temporaire » dont l’existence expirera le 4 juillet 2026. D’ici là, elle sera dirigée par un « administrateur » qui présentera ses « recommandations » directement au président, ou à son directeur de Cabinet.
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Cet administrateur est Elon Musk, l’homme d’affaire fondateur de Space X et Tesla, et propriétaire du réseau social X, anciennement Twitter ! Musk ne perçoit pas de salaire et ne répond qu’au président. Il n’a aucun pouvoir de décision. Raison pour laquelle sa nomination n’a pas fait l’objet d’une consultation et confirmation par le Sénat.
Bref, la création du Doge s’est faite dans les règles administratives américaines et son existence n’est en rien un détournement ou une usurpation de la démocratie par Elon Musk, comme certains l’ont prétendu. Doge possède un site web (doge.gov), un logo (un signe dollar « $ » dans un cercle noir et or) et même une devise : « The people voted for major reform », « Le peuple a voté pour une réforme majeure ».
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Cette « réforme majeure », promesse électorale de Donald Trump, passe par une réduction drastique de la taille et des dépenses de la bureaucratie fédérale. Depuis sa création, le Doge a appelé à la suppression de dizaines de milliers de postes de fonctionnaires et à l’annulation de dizaines de milliards de dollars de versements à des organisations américaines et internationales.
Ce faisant Doge s’est attiré les foudres des Démocrates, et des médias de gauche, peu habitués à ses méthodes expéditives. Elon Musk est devenu le personnage le plus controversé de la nouvelle administration. Il est l’homme que la gauche et les médias détestent et dénoncent. La personnification supposée du pouvoir des riches pour les riches. Mais ces attaques n’ont pas entamé sa popularité auprès des électeurs Américains. Au contraire ! Ni d’ailleurs, celle de Donald Trump, dont la cote personnelle n’a jamais été aussi favorable. Et pour cause !
Au contraire des médias, des élites et des démocrates radicaux, les Américains sont ravis de ce qu’ils observent à Washington. Ils réalisent que ce n’est pas l’argent des riches dont il est question ici mais de leur argent à eux. Celui des contribuables ordinaires ! Pour la première fois depuis des décennies, un président qui avait promis de s’attaquer aux gaspillages et aux abus de la bureaucratie fédérale, tient sa promesse, confronte directement cet « Etat dans l’Etat » et taille massivement dans les rangs des fonctionnaires. Découvrant au passage des abus plus grotesques les uns que les autres qui font le bonheur des humoristes et comédiens à la télévision.
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A l’inverse, les Démocrates sont horrifiés de ce qu’ils observent. Parce qu’ils comprennent que derrière la chasse aux abus et aux gaspillages, l’administration Trump est en train de démanteler l’appareil qu’ils ont patiemment bâti au cours des décennies passées. Ces coups de sabres dans la bureaucratie menacent directement leur modèle politique. Les Démocrates ont toujours été le parti du gouvernement. Plus celui-ci étendait ses tentacules, plus ils renforçaient leur emprise sur le pays. Au sein des différents ministères et agences gouvernementales on compte en moyenne un électeur républicain pour trois électeurs démocrates. La bureaucratie était au service des Démocrates. Le quatrième pouvoir composé d’individus élus par personne, c’est elle.
Le rôle des agences gouvernementales était de distribuer l’argent public pour soutenir des causes fétiches et promouvoir l’agenda progressiste sachant que les bénéficiaires de ces largesses soutiendraient en retour les candidats Démocrates pour entretenir une coopération mutuellement bénéfique. Au sein de l’EPA, Agence pour la Protection de l’Environnement, Doge a identifié une allocation de deux milliards de dollars accordée, sous la présidence de Joe Biden, à Power Forward Communities, une organisation de l’Etat de Géorgie liée à l’inusable politicienne démocrate Stacey Abrams.. .
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C’était un cercle vicieux totalement corrompu mais politiquement très efficace et juridiquement inattaquable.
A condition que les contribuables ne sachent pas ce qu’il advenait vraiment de leurs impôts. D’où l’opacité des comptes de nombres de ces agences. La caractéristique commune à toutes les agences gouvernementales passées au peigne fin par Doge est qu’elles ne rendaient jamais compte de leurs activités aux contribuables américains. Elles disposaient à leur guise de fonds publics sans aucun contrôle par les autres branches du gouvernement. Le département du Trésor a identifié quatre mille sept cents milliards de dollars de versements alloués sans "code d'identification" c'est à dire sans que le destinataire réel des fonds soit identifiable.
Si Trump parvient à démanteler cette bureaucratie, c’est le système de financement des causses progressistes qui sera abattu et, avec lui, la capacité des Démocrates à distiller leur propagande et se faire élire… L’offensive de Doge répond donc à deux objectifs, l’un économique et impératif : éviter une banqueroute des Etats-Unis ; l’autre politique, éliminer le poison progressiste et woke qui envenime l’administration américaine et supprimer les canaux de financement masqué des causes et candidats progressistes.
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Dans ce sens l’opération Doge est au cœur de la « «contre-révolution » menée par Donald Trump. Ce qu’il appelle le « retour du bon sens » (« common sense »). Tambours battants, il est en train d’éliminer l’influence pernicieuse des trois mandats progressistes Obama-Biden. Au passage lui et Musk n’hésitent pas à dénoncer et mettre en lumière tous les abus qu’ils découvrent. Ceux-ci sont la justification renouvelée de la nécessité de leur besogne.
L’origine de la bureaucratie gouvernementale aux Etats-Unis remonte à la présidence de Franklin Roosevelt dans les années 1930. En réponse à la Grande Dépression, « FDR » a multiplié les programmes d’assistances sociales et de travaux publics. Il est le premier président a avoir mené une véritable « politique industrielle » dirigée depuis l’exécutif, via des règlementations et subventions fédérales. Jusqu’alors les administrations américaines pratiquaient le « laisser-faire ». L’économie était l’affaire des acteurs et entreprises privés. Pas celle du gouvernement. Le marché dictait ses priorités et les acteurs s’y adaptaient…
La mise en place d’une « économie de guerre » à partir de 1940 a renforcé l’emprise du gouvernement fédéral sur l’économie américaine. Washington a pris une dimension nouvelle, sans précédent, et malgré le retour à la paix à partir de 1945, il n’est plus jamais retourné à sa taille d’avant 1940, et encore moins d’avant 1933…
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Au contraire, le gouvernement n’a jamais cessé depuis d’étendre ses responsabilités et son contrôle sur le quotidien des Américains. Ce que les Américains appellent « the administrative state » s’est renforcé dans les années 1950, 1960 et 1970, aussi bien sous les administrations Républicaines de Dwight Eisenhower (1953 – 1960) et Richard Nixon (1969 – 1974) que sous les administrations Démocrates de Kennedy-Johnson (1961 – 1968) et Jimmy Carter (1977 – 1980).
Ronald Reagan, le premier, tenta de s’y attaquer. Avec un succès limité. Etonnament c’est le président Bill Clinton et son vice-président Al Gore qui parviendront à réduire de manière significative les rangs des fonctionnaires.
A partir de 1993 Al Gore sera à la tête de l’opération « RIGO », c’est-à-dire « Re-Invent Government » (« Ré-Inventer le Gouvernement). Il s’agissait (déjà) « d’éliminer la fraude, la paperasse et les règlementations» pour rendre le gouvernement plus efficace et moins coûteux ». Son effort débouchera sur le vote du Federal Workforce Restructuring Act en 1994 autorisant la suppression de quatre cent mille postes de fonctionnaires. Soit 12% de l’administration de l’époque. Comme Donald Trump, le président Clinton aura recours à un programme d’incitations financières pour susciter des départs volontaires…
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L’heure était au centrisme chez les Démocrates. Clinton avait déclaré la fin de l’assistance sociale (welfare) pour la remplacer par l’aide au travail (workfare). Dans la foulée il avait supprimé les administrations qui géraient cette assistance. Cette cure d’amaigrissement combinée à la forte croissance économique des années 1990, avait débouché sur quatre budgets équilibrés consécutifs entre 1998 et 2001 ! Les derniers que les Etats-Unis aient connus. Les seuls en un demi-siècle.
Mais cet effort n’était pas venu à bout de la bureaucratie. Au contraire. Celle-ci a démontré, année après année, une capacité de résilience et de renforcement. Dix ans plus tard, le président Obama s’attaquait à nouveau aux gaspillages et aux abus, avec un nouveau décret présidentiel, (Executive Order 13576—« Delivering an Efficient, Effective, and Accountable Government »). Les Etats-Unis étaient alors en récession et à l’heure où Washington imposait des sacrifices à ses concitoyens, il estimait important que Washington montre l’exemple…
Son décret sera sans lendemain. Il reposait sur le vote par le Congrès de législations pouvant imposer des réformes durables. Celles-ci ne viendront jamais. C’est ce que Donald Trump a compris. Si l’exécutif attend que le législatif agisse, rien ne sera jamais fait. Il y a un président pour cinq cent trente-cinq législateurs. Les élus peuvent se cacher et se blâmer les uns les autres. Pas le président. Dès lors c’est à lui de prendre l’initiative. D’autant que les Etats-Unis en 2025 sont dans une situation bien plus grave qu’en 2011.
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Du fait de cinquante années, ou presque, de déficits répétés les Etats-Unis ont accumulé une dette publique de trente-six mille milliards de dollars. Soit 125% de leur PIB et plus de cent mille dollars par habitant. Une dette qui a doublé en dix ans et est devenu hors de contrôle. Le premier poste budgétaire américain est constitué des seuls intérêts sur cette dette. Les Etats-Unis dépensent plus pour financer leur dette que pour financer leur défense.
Donald Trump a décidé d’agir pour stopper cette spirale infernale de la dépense et des déficits qui, à terme, menace les Etats-Unis de faillite. Doge est son outil pour imposer la baisse de ces dépenses. En soulignant au passage qu’elles sont, non seulement, excessives, mais souvent aussi, insensées.
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C’est ce que l’Amérique toute entière a pu constater au sujet des fonds distribués par l’agence USAID. Fondée par un décret présidentiel du président Kennedy en 1961, USAID a pour missions d’aider les nations défavorisées à se développer et de promouvoir une image positive de l’Amérique dans le monde. Elle est à la fois instrument de développement et outil de « soft-power ». A ce titre elle distribue chaque année des dizaines de milliards de dollars dans le monde. En 2024 le budget de USAID était de 54 milliards de dollars.
Or Doge a découvert que parmi les dépenses récentes de USAID il y avait :
-32 000 dollars pour une bande dessinée transgenre au Pérou ;
- 47 000 dollars pour financer un opéra transgenre en Colombie ;
- soixante-neuf mille dollars pour financer des écoles de danse à Wuhan, en Chine;
-70 000 dollars pour une comédie musicale dur l’idéologie DEI (Diversité, Equité Inclusion) en Irlande ;
-1,5 millions de dollars pour financer des sessions de « diversité, équité et inclusion » au sein des entreprises de Serbie;
-1,5 millions pour soutenir la confiance électorale au Liberia;
- 2 millions de dollars pour des changements de sexe au Guatemala ;
-2 millions pour favoriser la cohésion sociale au sein des « communautés marginalisées » du Kosovo;
-2 millions de dollars pour des cours de poterie au Maroc;
-2 millions de dollars pour soutenir le tourisme au Liban ;
-2,1 millions de dollars pour sécuriser la frontière… du Paraguay;
-2,5 millions pour encourager la « démocratie inclusive » en Afrique du Sud;
-2,5 millions de dollars pour des véhicules électriques au Vietnam ;
- 3 millions de dollars pour une formation sur le climat destinée aux filles au Brésil;
-4,5 millions pour combattre la désinformation au Kazakhstan ;
- 6 millions de dollars pour aider le tourisme en Egypte;
-8 millions de dollars en abonnements au site d’information Politico. (En 2020 Politico avait qualifié l’ordinateur d’Hunter Biden de « désinformation russe » et soutenu la candidature de Joe Biden);
-9 millions de dollars d’aide alimentaire destinée aux civils en Syrie et détournés sur place au profit des terroristes d’Al Qaeda;
-9,7 millions de dollars pour former des jeunes à la création d’entreprise au Cambodge;
-10 millions pour des circoncisions volontaires de sujets mâles au Mozambique;
-14 millions pour la cohésion sociale au Mali;
-15 millions pour un programme de contraception féminine et masculine en Afghanistan ;
-19 millions pour la préservation de la biodiversité au Népal;
’20 millions pour le « fédéralisme fiscal » au Népal;
-21 millions pour encourager la participation électorale en Inde;
-22 millions pour soutenir des élections inclusives en Moldavie;
-25 millions pour promouvoir la biodiversité en Colombie;
-28 millions de dollars pour des tenues de camouflages destinées à l’armée afghane;
-vingt millions de dollars pour produire des émissions « Rue Sésame » (i.e. programmes télévisés pour enfants) en Iraq ;
-27 millions de dollars au bénéfice de clandestins expulsés des Etats-Unis, dont un sac cadeau contenant une poupée Barbie;
-40 millions pour faciliter l’insertion sociale de « migrants sédentaires » (sic);
-42 millions pour soutenir les changements sociaux en Ouganda;
-45 millions de dollars pour un projet de « diversité et inclusion » en Birmanie;
-47 millions pour améliorer les résultats scolaires en Asie (Les pays d’Asie sont déjà en tête des nations du monde pour la qualité du système scolaire);
-100 millions de dollars pour un programme d’irrigation de terres agricoles en Afghanistan au bénéfice de la culture du pavot, matière première de l’opium et de l’héroïne;
-520 millions de dollars pour une étude environnementale en Afrique;
La liste n’est pas exhaustive. Chacun peut la découvrir sur le site de Doge et Donald Trump en a fait une lecture partielle devant des journalistes médusés lors d’une conférence de presse depuis sa résidence de Mar-a-Lago le 17 février.
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En quelques jours ce sont des dizaines d’exemples de dépenses toutes plus invraisemblables les unes que les autres qui ont été mises à jour. Non seulement USAID était devenue inféodée à l’idéologie LGBT et au lobby transgenre, mais ses fonds servaient à soutenir des causes anti-américaines, et à entretenir et conforter les ennemis de l’Amérique à l’étranger. Donald Trump y a mis un terme brutal en fermant tous les bureaux, et en suspendant tous les paiements jusqu’à un audit complet de l’agence. Tous les employés de l’agence dans le monde, soit plus de dix mille personnes, ont été informés par un simple email qu’ils avaient un mois pour faire leur valise et rentrer au bercail…
Ce n’est pas la première fois que USAID est décriée. Dans les années 1990, sous la présidence de Bill Clinton, le secrétaire d’Etat d’alors, Warren Christopher, avait critiqué l’insularité de l’agence et suggéré de la rattacher au Département d’Etat. Elon Musk l’a qualifiée « d’organisation criminelle » et de « de nid de vipères de radicaux marxistes qui détestent les Etats-Unis ». « L’heure est venue de la supprimer » a-t-il conclu dans un tweet. C’est exactement ce qu’a fait Donald Trump, qui en a confié la surveillance à Marco Rubio, son secrétaire d’Etat.
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Dans le même temps, toujours sur la recommandation d’Elon Musk, Donald Trump a annoncé des licenciements massifs dans presque toutes les administrations et agences de l’exécutif. Sont concernés le département de l’éducation, la santé, le logement, l’agence de protection de l’environnement, les services généraux, le management du personnel et d’autres, jusqu’au Pentagone, le département de la défense.
Le 29 janvier il a annoncé un programme d’incitation aux départs volontaires. Tous les fonctionnaires qui choisiraient de démissionner bénéficieraient de sept mois de prime de départ. Une offre plutôt généreuse dans le contexte américain où les allocations chômages sont limitées à six mois et parfois moins… Soixante- quinze mille fonctionnaires ont accepté l’offre de Trump. Soit 2,5% du total des fonctionnaires fédéraux.
A terme, Trump souhaite éliminer 10% des effectifs, soit deux cent mille postes. L’objectif n’a rien d’irréaliste au contraire.
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Le ministère de l’Education qui emploie quatre mille quatre cents personnes et dispose d’un budget annuel de 230 milliards de dollars, vit sans doute ses derniers jours. Trump a expressément demandé à Linda Mc Mahon, à qui il a confié ce département, « de supprimer son propre job ». « L’Education doit rester la prérogative des Etats » estime-t-il afin que la concurrence soit source de qualité. Jusqu’en 1979, ce ministère n’existait pas. Il a été crée par le président Démocrate Jimmy Carter. Mais la qualité de l’enseignement public et les résultats scolaires des écoliers américains n’ont cessé de se dégrader depuis… Par contre les syndicats d’enseignements sont devenus un pilier du parti démocrate et ils ont invité des associations d’activistes à détourner le contenu des programmes scolaires, au profit de l’idéologie « woke ». C’est aussi l’enjeu de cette suppression.
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Désormais dans toutes les administrations américaines, les départs à la retraite ne seront plus remplacés automatiquement. Il faudra quatre départs et autant de suppression de poste pour une création de poste.
Bien entendu ces décisions font grincer des dents dans les administrations qui en appellent aux juges, aux médias, et à l’opinion public. Pour l’heure seuls quelques juges et les « suspects habituels » suivent. Donald Trump peut se prévaloir d’un mandat électoral que ces deux autres corporations n’ont pas et les électeurs américains sont clairement et massivement derrière lui dans cette entreprise d’amincissement et d’assainissement. Une incitation supplémentaire à agir vite et à mener sa contre-révolution du bon sens à terme.