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France-Amérique le blog de Gérald Olivier
31 mars 2025

Administration Trump: Pourquoi les Démocrates en veulent tant à Elon Musk ?

Aux Etats-Unis, le ton est sérieusement monté entre Elon Musk et les Démocrates.  

Elon Musk, milliardaire fondateur de Tesla et Space X, propriétaire du réseau X (anciennement Twitter), partenaire de Neuralink, devenu conseiller du président Donald Trump, en charge du « DOGE », le « Department of Governement Efficiency » a fait l’objet de multiples menaces, y compris des menaces de mort, et ses voitures et concessions ont été visées par des actes de vandalisme. Les auteurs de ces attaques et de ces menaces sont des élus démocrates, ou des activistes de gauche souvent connus pour des faits de violence antérieurs.

L’administration Trump a pris ces menaces très au sérieux, en désignant leurs auteurs comme des « terroristes domestiques » et en jurant de les poursuivre avec toute la force de la loi. Reste à voir si les juges suivront…

En attendant, comment expliquer une telle poussée de fièvre contre le milliardaire américain ?

Deux raisons viennent à l’esprit.

La première est familière et ne devrait surprendre personne. La gauche, aux Etats-Unis et ailleurs, a toujours recours à la violence, quand elle est battue dans les urnes, comme ce fut le cas le 5 novembre dernier. La rue est son jardin. Les vandales sont son bras armé.

La seconde est plus inhabituelle et plus significative aussi. Si la gauche perd ses nerfs c’est qu’elle est dos au mur. L’action d’amaigrissement et d’assainissement entreprise par Musk sur la bureaucratie fédérale, est, pour elle, une menace existentielle. Il ne s’agit pas de quelques postes de fonctionnaires supprimés. Il s’agit d’un échafaudage politico-financier mis en place méthodiquement, au cours du demi-siècle écoulé, garantissant au parti Démocrate une domination de la vie politique américaine, qui est en phase d’être démantelé et anéanti.

L’expression « menace existentielle » n’est pas exagérée. Elon Musk et ses informaticiens démontent rouage par rouage tout l’appareil politique démocrate tel qu’il existe depuis plus les années 1970/  Dès lors tout est justifié pour l’arrêter, surtout la violence.

Retour et explications de détails.

Depuis le 20 janvier 2025 et la seconde investiture de Donald Trump, le personnage le plus en vue de la nouvelle administration – excepté Trump lui-même – est Elon Musk. Originaire d’Afrique du sud, émigré aux Etats-Unis dans les années 1990, naturalisé américain en 2002, et ayant fait fortune grâce à ses compagnies innovantes, Elon Musk a été placé par le président Trump à la tête du DOGE, une nouvelle agence fédérale, dont la mission est de rendre l’action du gouvernement plus efficace et moins coûteuse.

En clair, il s’agit de débusquer les gaspillages, les fraudes et les abus (« waste, fraud and abuse ») au sein de la bureaucratie fédérale, qui regroupe quinze ministères et des dizaines d’agences, et emploient plus de trois millions de personnes.

Depuis des décennies, les présidents Américains se plaignent d’une bureaucratie pléthorique, jurent d’en réduire le pouvoir et la taille… et ne font rien, ou presque. A preuve !

« Le gouvernement n’est pas la solution à nos problèmes, il est le problème, disait Ronald Reagan en 1981. Si l’on ne contrôle pas le gouvernement, c’est lui qui vous contrôle. Il est temps d’en réduire la taille, car celle-ci dépasse largement ce à quoi les électeurs ont consenti. »

 « le temps d’un vaste gouvernement est révolu, réitérait Bill Clinton en 1995 : … Nous devons donner à nos concitoyens un gouvernement plus petit et moins bureaucratique, un gouvernement qui vive selon ses moyens….»

 « Le gouvernement doit être actif mais limité, estimait  George W. Bush à son entrée à la Maison Blanche en 2001. Trop de gouvernement tue l’initiative privée et étouffe les bonnes volontés. »

 «Il nous faut un gouvernement mince et efficace, reprenait Barack Obama, en 2012… Nous allons passer les dépenses du gouvernement au peigne fin pour éliminer les gaspillages, un par un…  C’est le sens de ma campagne. »

Malheureusement, rien de tout cela n’a été fait.

La taille du gouvernement est inchangée depuis quarante ans. Hors militaires et contractuels, la bureaucratie fédérale emploie plus de trois millions de personnes aujourd’hui contre 2,7 millions en 1980. Dans le même temps la dette publique américaine a explosé, parce qu’année après année, le Congrès a approuvé des budgets en déficit. Non seulement la taille du gouvernement n’a jamais été réduite, mais il a continué de vivre au-dessus de ses moyens. A trente-six mille milliards de dollars, soit 120% du PIB, la dette américaine est devenue démesurée et représente une hypothèque sur l’avenir des Etats-Unis.

Les Etats-Unis dépensent désormais près de mille milliards de dollars pour payer les intérêts de leur dette. Plus que pour leur défense. « Nous dépensons plus pour le service de la dette, souligne Elon Musk, que pour n’importe quel autre poste budgétaire.  Ce n’est pas tenable. Si rien n’est fait pour stopper cela nous allons à la faillite. »

A la demande du président Trump, qui avait promis durant sa campagne de réduire les dépenses et la bureaucratie fédérales, Elon Musk, aisé de quelques chefs d’entreprises de la Silicon Valley et de jeunes informaticiens se sont plongés dans les comptes de la bureaucratie fédérale pour y débusquer « les gaspillages , les fraudes et les abus ». Leur réussite a dépassé toutes les attentes.

En deux mois à peine Musk a fait économiser cent trente milliards de dollars au gouvernement. C’est énorme et c’est très peu. Enorme car cela représente dix fois le budget du ministère du Travail (Department of labor). Très peu car cela ne représente que 8% du déficit budgétaire et 13% de l’objectif de DOGE. A terme,  Musk espère trouver mille milliards de dollars d’économies.

D’ores et déjà, d’innombrables programmes ont été coupés. Des milliers de postes ont été supprimés. Au grand dam des démocrates et de la gauche pour qui ces programmes et ces postes sont la fonction même du gouvernement.

L’agence USAID, « United States Agency for International Development,  fondée en 1961 par le président Kennedy pour aider les pays du tiers monde et améliorer le « soft-power » américain, qui comptait dix mille employés et un budget supérieur à cinquante milliards de dollars a été pointée du doigt pour des dépenses inconsidérées et des circuits de financement opaques. Le financement d’un opéra transgenre en Colombie, d’opérations de changements de sexe au Guatemala, de circoncisions au Mozambique, de cours sur la diversité en Birmanie, de propagande LGBT en Serbie, et d’autres inanités du mêmes genre, tout cela était le fait de USAID qui a vu ses programmes suspendus du jour au lendemain, son personnel mis à pied, et son statut révisé pour tomber sous la coupe du Département d’Etat.

Ce qui a provoqué la fureur du camp démocrate. Car l’agence USAID était « leur bébé ». Depuis des années personne ne mettait plus son nez dans ses affaires. Ce qui lui permettait de transférer des millions de dollars pour soutenir ses causes fétiches dans le monde, sous couvert d’aide humanitaire, à partir de l’argent des contribuables américains, à leur insu total et sans jamais avoir à rendre de compte…

L’aide à Haïti en a constitué un exemple criant.  Depuis le tremblement de terre de 2010 qui a fait trois cent mille morts et désorganisé la petite nation issue d’esclaves affranchis, le gouvernement américain a déboursé 4,4 milliards de dollars pour lui venir en aide, l’essentiel via USAID. Mais sur ce total moins de 50 millions de dollars sont allés directement à Haïti, soit à peine plus de 1% des sommes engagées. 2,1 milliards de dollars sont allés à des firmes de lobbying et des ONGs situées à Washington D.C.

L’USAID n’a pas été la seule victime de DOGE. L’agence pour la protection de l’environnement (EPA) va perdre mille de ses employés. L’IRS, c’est-à-dire le fisc américain,  va voir ses rangs réduits de dix-huit mille personnes (alors que Joe Biden voulait engager 70 000 agents supplémentaires). Le Département de l’Education, mis en place par le président Carter en 1977 et critiqué par tous les présidents depuis, va être démantelé. Au département de la Santé, Robert Kennedy Jr a promis une réduction d’effectifs de vingt mille personnes, sur quatre-vingt-six mille.  

Musk a également appelé à mettre à jour les fichiers de la caisse des retraites (Social Security). DOGE a découvert, avec stupeur, que tous les mois le gouvernement américain envoie un chèque de retraite à quinze millions d’américains âgés de plus de cent vingt ans ! Quinze millions ! Alors que selon le dernier recensement le plus vieil Américain a 115 ans… A mille dollars par personne ces paiements représentent une dépense frauduleuse de 180 milliards de dollars par an. Plus de 10% du déficit budgétaire.

Musk a aussi découvert que les dossiers de tous les retraités américains étaient toujours gérés par papier et conservés dans une mine désaffectée en Pennsylvanie…

Quant aux paiements autorisés par le département du Trésor, ils sont dépourvus des codes permettant d’en garantir la traçabilité. En clair le gouvernement Américain verse des milliards de dollars tous les mois, sans savoir à qui, ni pourquoi.  

Si les Républicains, les supporters de Trump, et une majorité des Américains ont applaudi à ces révélations et à ces économies – car ce sont autant d’impôts qu’ils n’auront pas à payer – la gauche et en particulier la gauche radicale s’est insurgée et tente désormais par tous les moyens de stopper l’action de Musk et du DOGE.

Certains juges ont déposé des injonctions pour stopper l’action du gouvernement. C’est un combat juridique qui montera inévitablement jusqu’à la Cour Suprême. Une option  contestable mais constitutionnelle.

D’autres individus sont passés directement à l’action violente. Des concessionnaires Tesla ont été attaqués au cocktail molotov et vandalisés. Des véhicules Tesla ont été incendiés. Les noms et adresses de propriétaires de voitures Tesla ont été diffusées sur les réseaux sociaux. Ces actes de vandalisme ont fait la une des journaux télévisés mais, étrangement, ont reçu un traitement plutôt clément de la part des médias. 

Les comédiens qui animent la deuxième partie de soirée sur le petit écran et qui rassemblent encore des millions de téléspectateurs, en majorité des jeunes, ont « découragé » de tels actes, avec le sourire au coin des lèvres, comme s’ils disaient une chose et en pensaient une autre.  En clair ce vandalisme n’a choqué personne. Musk l’avait cherché en multipliant les actes et les propos provocateurs.  Bref, pour les médias et les politiques, cette violence, venant de la gauche, était acceptable et légitime voire même justifiée.

Et il y a le cas particulier de Jasmine Crockett.  Madame Crockett est une Représentante démocrate Noire du Texas au Congrès. Elle est née un 29 mars et en cadeau d’anniversaire, cette année, elle a demandé à quelqu’un de « descendre » Musk (« take him down » en anglais). Jurant bien entendu que « descendre » n’impliquait rien de violent. Elle faisait référence au cours de bourse de Tesla…  N’empêche ! Le sens littéral de l’expression utilisée était à la fois clair et délibéré.

Appeler à l’élimination physique d’un adversaire politique est un crime. Etonnamment quand un tel appel vient de la gauche cela ne semble offusquer personne. En 2020 le sénateur démocrate de New York, Chuck Schumer, avait menacé les juges de la Cour Suprême, Kavannaugh et Gorsuch à cause de leur position sur l’avortement :  « Vous allez payer le prix… Vous ne saurez pas ce qui vous a frappé. »

En pleine campagne présidentielle l’an passé, le président Joe Biden, lui-même avait appelé à « mettre Trump dans la cible ». Une semaine avant qu’un jeune déséquilibré ne tire sur Donald Trump. Pourtant personne à gauche n’avait accusé le président d’incitation à la violence.

Au contraire en 2016 quand Trump avait déclaré durant la campagne présidentielle que « les partisans du second amendement (c.a.d. du droit de port d’armes) pourraient stopper Hillary Clinton », toute la classe politique s’était levée contre cette « irresponsable incitation à la violence. »

C’est bien qu’il existe un deux poids deux mesure, aux Etats-Unis et ailleurs,  vis-à-vis de la violence radicale. C’est un axiome marxiste que de considérer la violence légitime si elle participe à la « révolution prolétarienne ». Comment abattre un régime oppressif sinon par la violence  révolutionnaire? En clair, si la cause le justifie, la violence est acceptable voir justifiable. Cela s’est vérifié tout au long de l’année 2024 sur les campus universitaires américains, par des attaques physiques répétées contre les étudiants juifs, au nom de la défense du peuple palestinien. Face à un Etat israélien jugé oppresseur du peuple palestinien à Gaza, la violence contre les juifs partout ailleurs dans le monde, y compris dans les universités – lieux de savoir et de tolérance – était légitime.

Cela s’est vérifié aussi en 2020 à l’occasion des émeutes qui ont suivi la mort de George Floyd. Parce que Floyd était décédé aux mains de la police, sa mort illustrait une  violence d’Etat qui justifiait une violence encore plus forte en retour contre la police, symbole de  l’Etat. Face à la brutalité meurtrière de la police, la gauche s’estimait en droit de répondre par sa propre violence. Du coup des dizaines de journalistes, et observateurs, eux-mêmes marxistes ou acquis à l’idéologie dominante, avaient décrit comme « largement pacifiques » des manifestations qui avaient dégénéré en incendies criminels, actes de vandalisme et pillages. Peu importe que ces émeutes aient causé la mort de dizaines de personnes. Ces mort-là ne comptaient pas. Seule importait la mort de Floyd, victime consacrée, symbole de l’oppression capitaliste… Katherine Maher, présidente de NPR, la radio publique américaine, avait résumé cette pensée en un tweet :  « Il est difficile d’en vouloir à des manifestants (en l’occurrence  BLM) qui ne respectent pas la propriété privée d’un système oppresseur. »

Kamala Harris, alors candidate à la vice-présidence des Etats-Unis avait pu impunément appelé à lever des fonds pour payer les cautions et frais d’avocats des émeutiers… La gauche prenait le parti des criminels et légitimait leur violence. Encore fallait-il que l’enjeu justifie cette explosion de brutalité. 2020 était une année présidentielle et battre le candidat républicain justifiait tous les excès… Excès d’ailleurs récompensés quelques mois plus tard…

Si, aujourd’hui, Elon Musk suscite des réactions violentes des Démocrates et de la gauche, c’est que les mesures prises par le DOGE sont perçues comme une menace réelle et sérieuse. Un examen des faits le confirme.

Elon Musk représente une menace sans précédent pour la gauche américaine d’abord parce qu’il s’attaque au rôle du gouvernement, alors que le parti Démocrate est par définition le parti du gouvernement. Il met en doute son efficacité et même son utilité. Ce faisant il affaiblit la cause démocrate.

Deux, ces attaques sont d’une envergure sans précédent. Dans les années 1980, après la cure d’amaigrissement des années Reagan, la bureaucratie fédérale avait rapidement repris son inarrêtable expansion. Cette fois Musk mène des attaques tous azimuts qui visent les effectifs, les contrats et les responsabilités mêmes des ministères et agences liés à l’exécutif. Il questionne leur mode de fonctionnement et leur fonction même. La philosophie de DOGE consiste à appliquer à l’administration les mêmes standards de qualité et d’exigence que ceux rencontrés dans le secteur privé. Et si une agence ne peut démontrer son utilité, elle est balayée…

Trois, Elon Musk ne fait pas que diminuer les dépenses du gouvernement, il démonte et démythifie l’édifice politique démocrate. En pointant du doigt les multiples abus du système, il met en lumière des financements problématiques, voire illicites. Comment justifier par exemple qu’une simple enquête d’opinion soit facturée plusieurs centaines de millions de dollars au gouvernement sinon en admettant qu’une partie de l’argent n’était pas destinée à l’enquête… ?  

En clair, à travers les agences et les activités de l’exécutif l’administration entretenait un certain nombre de soutiens politiques qui lui rendaient la politesse à chaque cycle électoral en réinjectant dans les campagnes une partie de l’argent reçu. Bien entendu cela représente un détournement flagrant de l’argent des contribuables. C’était un système et un mode opératoire totalement corrompus, mais dont la corruption était cachée des électeurs et des contribuables. Or Musk lève le voile et affiche cette corruption au grand jour. Inévitablement cela met les gens concernés en colère. Non seulement il les prive de leur gagne-pain, mais il ruine leur réputation et donc leur avenir…

Musk est le premier à lever ostensiblement ce voile. Avant lui, les médias américains se sont largement privés de le faire. La corruption dénoncée par DOGE n’aurait pas été possible sans la complicité de médias acquis aux causes progressistes. NPR, la radio publique américaine, subventionnée par les contribuables américains, (sa maison mère CPB reçoit une appropriation d’un demi-milliard de dollars tous les ans du gouvernement fédéral) compte 87 membres au sein de son « comité éditorial ». Tous sont des Démocrates. Pas un seul n’est Républicain. Dès lors, comment envisager que la radio « publique » offre une information impartiale et soit en phase avec le public américain…

En supprimant des centaines de programmes d’aide, Musk coupe aussi les circuits de financement de milliers d’acteurs – principalement des ONGs et des syndicats, qui sont directement ou indirectement financés par ses programmes. Non seulement il stoppe leur action, mais il les prive de moyens de subsistance.

La suppression du département de l’Education en est l’exemple le plus flagrant. Crée en 1977 par le président Carter ce département employait quatre mille personnes avec un budget proche de trois cents milliards de dollars. Tout en imposant aux écoliers et lycéens américains du public un enseignement médiocre.

Mais cela n’avait jamais été le but de ce département. Sa fonction était d’améliorer non pas la qualité de l’enseignement mais le contenu idéologique des cours. Garantir que seule la version « marxiste » de l’histoire soit enseignée. Débouchant, après quelques décennies, sur les monstruosités « woke » récemment dénoncées. C’était aussi un cadeau aux syndicat des enseignants, la NEA (National Education Association) et l’AFT (American Federation of Teachers).

Ces deux syndicats, les plus importants de l’enseignement, y avaient obtenu une quasi mainmise sur les embauches de nouveaux professeutrs ainsi que des crédits considérables et en retour ils réservaient 90% de leurs donations politiques à des candidats et causes démocrates. En 2024 l’AFT avait donné douze millions de dollars au ticket Harris-Walz. Avec la suppression de ce ministère c’est toute cette manne qui s’évapore.

Idem pour l’EPA, l’agence pour la protection de l’environnement. Les présidents d’associations et autres ONGs environnementales,  devenus conseillers à la Maison Blanche, ont reçu des dizaines de milliards de dollars de subventions de la part de l’administration Biden. Lee Zeldin, le nouveau directeur de l’EPA a récemment détaillé comment une ONG appelée « Greenhouse Gas Reduction fund », reçut cinq milliards de dollars quelques semaines après que son directeur eut été engagé par l’administration…

Plus l’action de DOGE sera efficace, plus les condamnations médiatiques ou politiques seront fortes et plus les représailles seront violentes. Ce n’est pas surprenant.  A chaque fois qu’elle perd les élections, la gauche se rabat sur la rue et sur la violence radicale. C’était les Antifas et les BLM hier, ce sont les vandales et autres terroristes anti-Musk aujourd’hui.

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Commentaires
C
Les attaques contre Elon Musk sont répugnantes. La cavalerie gauchiste est en action... Il serait intéressant d'approfondir le buzz médiatique créé en France autour des lettres envoyées par l'Ambassade des Etats-Unis à des grands groupes français pour alerter sur la question des discriminations positives. Comme d'habitude, aucune information étayée. Une allégation permet d'attaquer l'administration Trump. Quels étaient les groupes concernés ? Quelle est la teneur de ce courrier ? Rien. Après avoir fait le buzz, on passe à une autre actualité et le tour est joué. Grâce à des contacts avec l'ambassade, il serait sans doute possible de récupérer le courrier et de permettre d'avoir une véritable information sur le sujet digne d'un travail journalistique normal !
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